Son unification entre la Le 14 août 2016, dix enfants sont tués et une trentaine d'autres sont blessés, dans une frappe aérienne contre une école au nord du Yémen, selon Médecins sans frontières[251]. Le 6 août 2016, les négociations sont officiellement clôturées[245]. Guerre au Yémen : quatre questions pour comprendre Plus de 10 000 personnes ont péri dans le conflit qui mine le pays depuis 2015. Le 27 juin, les rebelles Houthis bombardent à l'aide d'artillerie le port d'Aden afin de repousser un navire humanitaire qatari, contraint de faire demi-tour[134]. Le 2 août 2017, des forces yéménites soutenues par les Émirats arabes unis lancent une offensive contre AQPA dans le gouvernorat de Chabwa[350]. La République du Yémen est un pays relativement récent. Cependant, les deux belligérants n'ont pu se mettre d'accord sur la libération des commandants respectifs[152]. Extrêmement limitée au départ, l'aide iranienne s'effectuerait essentiellement par des fournitures d'armements et par l'envoi de conseillers militaires[421]. Le 6 mars 2017, 22 rebelles Houthis sont tués dans des raids aériens de la coalition arabe, près de Hodeïda et dans des combats, dans les environs de la ville de Mokha[311]. Ceci est condamné par l'Union des journalistes yéménites[270], Reporters sans frontières[270] et Amnesty International[271]. Le 29 septembre, l'ONU adopte par consensus une résolution concernant la constitution d'une commission d'enquête indépendante sur les atteintes présumées aux droits de l'homme commises au Yémen[332]. Le 18 septembre 2016, le siège de la Banque centrale est déplacé à Aden[272]. Résistance de Tihama Les critiques vis-à-vis de la coalition sous la direction du prince héritier Mohammed bin Salman se sont accrues à mesure que la presse internationale dévoilait l'ampleur des souffrances des populations civiles. Pour mieux comprendre la situation au Yémen et les conflits qui animent le Moyen-Orient en général, il faut inévitablement faire la distinction entre sunnites et chiites. Le 1er août, la délégation loyaliste quitte les négociations et le Koweït également[244]. Lexportation de ces produits a été autrefois la source de la richesse dun pays très différent du monde de bédouins du reste de la péninsule arabique. Le 12 juin, les Émirats arabes unis donnent 48h aux Houthis pour quitter la ville[374]. Le 3 avril 2016, les loyalistes reprennent les localités d'al-Zalaq et d'al-Hadhba, dans la province d'al-Jawf, dont ils revendiquent le contrôle à 80 %[200]. Le 13 février 2016, la Croix-Rouge a pu pénétrer à l'intérieur de la ville de Taëz pour la première fois depuis le mois d'août et a livré trois tonnes de fournitures médicales[182]. Le 7 octobre 2016 à Zinjibar, des manifestants demandent le limogeage du gouverneur d'Abyan[283]. Débordé en septembre 2014 par le mouvement venu de l'extrême nord ouest du pays, et par certains éléments de l'armée, le président Abdrabbo Mansour Hadi, est contraint à la démission en janvier 2015, lorsque les houthistes s'emparent du palais présidentiel. Le 21 avril 2015, la coalition arabe dirigée par Riyad annonce mardi la fin de l'opération Tempête décisive[126], mais les frappes aériennes reprennent dès le lendemain dans le cadre de l'opération Restaurer l'espoir[127]. Le 21 septembre, le gouvernement yéménite et les rebelles Houthis signent un accord visant à mettre fin à la crise politique alors que les rebelles avancent vers la capitale ; le Premier ministre Mohamed Basindawa démissionne, et conformément à l'accord, les rebelles nommeraient un nouveau Premier ministre dans les trois jours[55]. flickr- Ibrahem Qasim-cc. Cependant, le 6 février 2015, par une déclaration constitutionnelle, les Houthis, lors d'une réunion au cours de laquelle participent des personnalités comme les ministres de la Défense et de l'Intérieur du gouvernement démissionnaire, annoncent l'instauration de ce Conseil présidentiel, chargé de diriger la transition pour une durée de deux ans, contre un an comme initialement prévu[77]. Peu après, le 5 octobre, l'ONU publie le rapport annuel du secrétaire général de l’ONU sur les enfants et les conflits armés[333], qui cite en annexe les pays et entités ayant commis en 2016 des meurtres ou des mutilations d’enfants : y figurent pour le conflit au Yémen la coalition dirigée par l'Arabie saoudite, les houthistes, les forces gouvernementales yéménites et Al-Qaida[334]. Pour leur part, les Houthis annoncent le début du cessez-le-feu pour le 14 décembre[146]. Selon le journal Le Monde, l'Arabie saoudite mène depuis longtemps une politique d'affaiblissement de l'État yéménite[52]. Le 10 avril 2016, le cessez-le-feu entre en vigueur[204]. We'll email you at these times to remind you to study. Au 30 mai, l'épidémie de choléra a fait 500 morts ainsi que près de 55 206 cas suspects[453]. Le 21 janvier 2018, le Conseil de transition du Sud adresse un ultimatum de sept jours au président Abdrabbo Mansour Hadi pour limoger le gouvernement d'Ahmed ben Dagher, qu'ils accusent de « corruption »[340], et le remplacer par un gouvernement de technocrates, sans quoi il nommerait son propre gouvernement[341]. Le 25 juin, la coalition annonce la mort de huit membres du Hezbollah à Sa'dah[377]. Entre le 2 et le 6 mars, les États-Unis mènent une série de frappes aériennes, plus d'une quarantaine contre les djihadistes d'AQPA, il s'agit alors de la plus intense série de bombardements depuis le début de l’intervention américaine dans ce pays, en 2002[310]. La guerre actuelle au Yémen était au départ un conflit tribal et confessionnel interne à ce jeune pays, créé en 1990. Selon l'ancien négociateur de l'ONU sur le Yémen, Younès Abouyoub : « Historiquement, les dirigeants houthistes ont peu de relations avec Téhéran (...). Ces informations peuvent manquer de recul, ne pas prendre en compte des développements récents ou changer à mesure que l’événement progresse. Le 22 novembre 2017, la coalition dirigée par l’Arabie saoudite annonce la réouverture du port de Hodeida et de l'aéroport de Sanaa pour l'aide humanitaire. Le 19 octobre, de violents combats ont lieu avant la trêve autour de Sanaa, dans la province d'Omrane, dans la province de Hajja ainsi que dans la province de Marib. Officiellement, la coalition nie tout d’abord être impliquée avant de déclarer qu'il s'agissait d'une erreur de sa part, mais après cette attaque les États-Unis annoncent un « examen immédiat » de leur soutien à la coalition[286]. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à. Dans ce contexte, les frappes aériennes conduites par l'Arabie saoudite et ses alliés, les enjeux religieux entre chiisme et sunnisme, et la présence importante d'Al-Qaida, enveniment chaque jour davantage une situation particulièrement complexe. La guerre civile yéménite est un conflit qui oppose depuis 2014 principalement les rebelles chiites houthis et, jusqu'en 2017, les forces fidèles à l'ex-président Ali Abdallah Saleh au gouvernement d'Abdrabbo Mansour Hadi,,,, élu en 2012 à la suite de la révolution yéménite et du départ du pouvoir de Saleh. Le 15 août 2016, la coalition autorise l'ONU et ses agences à atterrir à l'aéroport de Sanaa[252]. Le 8 mars 2015, le ministre de la Défense, Mahmoud al-Soubeihi, pourtant nommé président de la commission de sécurité par les Houthis[109], fuit Sanaa et se dirige vers Aden[110]. En septembre 2016, le gouverneur de Marib déclare que des armes destinées aux Houthis seraient envoyées par l'Iran en transitant par Oman et la province du Hadramaout, en direction de Sanaa[269]. Ainsi, selon le site d'information Middle East Eye, si des troupes émiraties ont été déployées au Yémen et ont joué un rôle clé, une grande partie des combats aurait été sous-traitée à des alliés locaux, ce qui a permis de limiter leurs propres pertes[433]. Cependant, les Houthis refusent toute ingérence iranienne[192]. En 2018, une association yéménite de défense des droits de l'homme porte plainte contre Mohammed Ben Salman, l'accusant d'avoir « sciemment » attaqué des populations civiles au Yemen[423],[424]. Le 2 mars 2017, l'armée américaine procède à une série de frappes contre Al-Qaïda, dans les provinces méridionales d'Abyane et de Chabwa, ainsi qu'à Baïda, au centre. Plus de vingt frappes tuent au moins douze membres d'Al-Qaïda[305]. Dans un pays peuplé à 60% de musulmans sunnites, les zaydites (un courant chiite différent du chiisme iranien) ont commencé à se révolter dès 2004, rappelle France Culture. Yahoo fait partie de Verizon Media. Pour autoriser Verizon Media et nos partenaires à traiter vos données personnelles, sélectionnez 'J'accepte' ou 'Gérer les paramètres' pour obtenir plus d’informations et pour gérer vos choix. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. In Yemen, the worst humanitarian crisis in the world, FAO is working to increase access to food for highly vulnerable families, to increase household incomes and rehabilitate food security assets. En juillet 2017, 300 000 personnes sont touchées par l'épidémie de choléra au Yémen avec plus de 1 600 morts[455]. La très grave crise humanitaire que subit actuellement le Yémen est due principalement au blocus maritime, aérien et terrestre imposé par l’Arabie saoudite[456]. Le cessez-le-feu est pourtant proclamé dans un contexte d'accalmie, à la frontière saoudienne, à Sanaa et à Saada où la coalition a cessé ses bombardements depuis un mois[210]. Vidéo - Le Yémen vit une guerre civile dévastatrice depuis 2014. 3 anni fa. Le 21 février 2015, Hadi, dont la démission a été refusée par le Parlement et qui était en résidence surveillée à Sanaa, prend la fuite vers Aden, ville du sud du pays[100] et devenue par la suite capitale de facto[101]. Les forces loyalistes avancent jusqu'à Yakhtul, localité située à 14 km au nord. Al-Zoubaïdi devient président du Conseil présidentiel, tandis que Hani ben Brik devient vice-président[328]. Le 20 août 2016, une manifestation chiite[256], pro-Houthis et pro-Saleh, organisée en soutien au Conseil politique suprême, rassemble des dizaines[257] à une centaine de milliers de personnes à Sanaa[258]. Avancée des Houthis au sud et début de l'intervention de la coalition sunnite (mars-juillet 2015), Dissensions au sein des deux camps (2017-2018), Rupture de l'alliance entre les pro-Saleh et les houtistes et mort de l'ex-président Saleh, Conflit entre loyalistes et séparatistes à Aden (2019-2020), Prise d'Al Hazm par les houthis (mars 2020), « composantes révolutionnaires et politiques », « le drapeau de la République du Yémen flottera sur les montagnes de Maran à Saada, et non pas le drapeau iranien », « L'école du [chiisme] duodécimain suivie en Iran ne sera pas acceptée par les Yéménites, qu'ils soient Zaïdites ou Chafiites », « l'opération vise à défendre le gouvernement légitime du Yémen et à empêcher le mouvement radical Houthi (soutenu par l'Iran) de prendre le contrôle du pays », « usurpé le titre de président à l'issue de son mandat, participé à l'agression du Yémen et avoir porté atteinte à l'intégrité territoriale de la République yéménite », « le commerce, les navires, et les opérations militaires dans la région », « Le ministère de l'Intérieur (contrôlé par les Houthis) annonce la fin de la milice de la trahison et la mort de son chef (Ali Abdallah Saleh) et d'un certain nombre de ses éléments criminels », « Historiquement, les dirigeants houthistes ont peu de relations avec Téhéran (...). Cela a conduit à la livraison d'une « grande variété d'équipements militaires ». Le 5 février 2018, les loyalistes reprennent Haïs, située dans le gouvernorat d'al-Hodeïda[364]. Le 30 septembre, les Houthis libèrent 290 prisonniers[391]. [437][source insuffisante]. Par ailleurs, l’organisation Human Rights Watch publie des photos de bombes à sous-munitions utilisées selon elle par l’Arabie saoudite et fournies par les États-Unis. Les forces des EAU sont accusées d'avoir été complices de crimes de guerre au Yémen. Le 4 septembre 2016, la raffinerie d'Aden est rouverte, un an après la fin de la bataille, permettant ainsi de mettre fin à la pénurie d'électricité[268]. C'est alors que l'Arabie saoudite entreprend un échange de prisonniers avec les rebelles chiites, un soldat saoudien contre sept Yéménites[191]. Le gouvernement d'Abdrabbo Mansour Hadi annonce son intention de prendre des mesures légales contre les Émirats arabes unis. Le 28 janvier 2018, peu après l'expiration de l'ultimatum, les séparatistes prennent le contrôle du siège du gouvernement[342]. Le 11 octobre 2017, dix membres d'Al-Islah, dont des explosifs ont été retrouvés chez eux, sont arrêtés à Aden après un attentat ayant coûté la vie à un prédicateur pro-Émirats arabes unis[336]. Le 27 septembre, des sources sécuritaires annoncent que les rebelles Houthis attaquent la maison du chef des services de renseignement à Sanaa. Le 23 février 2016, Ali Mohsen al-Ahmar est nommé vice-commandant des Forces armées yéménites par le président de la République, Abdrabbo Mansour Hadi[187]. Le 6 mars 2015, les Houthis dispersent une manifestation à Sanaa exigeant leur départ du pouvoir[95]. Le 26 mars 2018, sept missiles balistiques tirés par les Houthis sont interceptés dans la nuit de dimanche à lundi au dessus de l'Arabie saoudite. En octobre 2016, des manifestations hostiles au gouvernement yéménite ont lieu dans le sud, notamment à Aden, tandis que les séparatistes annoncent la création d'un conseil politique sudiste pour le 14 octobre, date anniversaire du début de l'insurrection contre le l'occupation britannique en 1964[281]. Le 14 avril, treize combattants loyalistes sont tués par les rebelles[213]. Le 7 octobre 2014, Ahmed Awad ben Moubarak est nommé Premier ministre[59]. Le 7 mars 2015, la proclamation d'Aden comme capitale est confirmée par Hadi et annonce avoir fui Sanaa en passant par un tunnel situé dans sa résidence[108]. Les milices houthistes avaient pris le contrôle de la capitale dès le mois de septembre. Cette évolution confirmerait que les Émiratis se sont imposés en acteurs de premier plan dans un pays considéré comme la « chasse gardée » de l'Arabie saoudite et conjointement un échec stratégique pour le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane[435]. Les 18 juin 2016 et 19 juin 2016, les deux camps échangent des prisonniers à Ta'izz[221] et à al-Baïda[222]. Au moins quarante personnes sont tuées durant les deux jours de combats. Les combats ont fait 123 morts[56]. Le conflit oppose les forces pro-gouvernementales et une coalition menée par l’Arabie saoudite aux rebelles Houthis, soutenus par l’Iran et qui se sont emparés en 2014 et 2015 de vastes régions du pays, dont la capitale Sanaa. Par Marc Eynaud de Fay Arrêt sur info — 02 octobre 2015. We'll email you at these times to remind you to study. Le 13 avril 2016, les combats se poursuivent, après une tentative des Houthis de reprendre les territoires perdus au nord. Le 17 octobre 2016, le président Abdrabbo Mansour Hadi accepte un cessez-le-feu de 72 heures susceptible d'être prolongé entre les forces gouvernementales et les chiites Houthis[292]. ... mieux appréhender la situation et d'en comprendre les dynamiques internes. Le 23 décembre 2017 a lieu la séance inaugurale de l'Assemblée nationale sudiste, au cours de laquelle Ahmed Saïd ben Brik est élu président et Anis Yossouf Ali Louqman vice-président de cette chambre parlementaire[339]. Alors que les Émiratis et Riyad suivaient jusque là la même ligne politique, Mohamed ben Zayed (MBZ), homme fort des Émirats arabes unis et membre clé de la coalition, apporterait un soutien aux « sudistes » du Conseil de transition du Sud qui se déclarent ouvertement favorables à une partition du pays. Le 4 septembre 2015, soixante soldats de la coalition, dont quarante-cinq soldats des Émirats arabes unis, sont tués dans l'attaque au missile balistique d'une base militaire dans la province de Marib, à l'est de Sanaa[140]. Par ailleurs, l'aviation de la coalition tue sept rebelles et en blesse quinze autres dans des frappes aériennes sur Hodeida, grande ville portuaire de l'ouest du Yémen[301]. L'ONG Save the Children salue cette mesure mais la juge insuffisante, et réclame l'ouverture du port d'Hodeida aux importations commerciales, essentielles pour nourrir la population[338]. De nombreuses organisations humanitaires, ainsi que l’ONU, s’en sont émues[456],[457]. Yémen. Lv 7. Selon le responsable de l'armée, le bilan pourrait s'alourdir[246]. En signe de protestation contre cette démission, le port et l'aéroport d'Aden, sont fermés[71]. Cette opposition est la conséquence de l'indignation suscitée par de graves incidents au cours desquels des civils ont trouvé la mort du fait de la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite, en particulier des frappes de missiles qui ont tué des dizaines d’écoliers en août 2018[380],[438]. Le titre lui-même peut être provisoire. En août 2016, le gouvernement yéménite décide de demander aux organismes internationaux de geler les avoirs de la banque centrale, et de nommer une nouvelle direction dont le siège serait au sud[259]. Les 16 et 17 août, les séparatistes se retirent du palais présidentiel et de quelques positions à Aden, mais ils maintiennent leur présence à l'intérieur des camps militaires capturés[396],[397]. Le 5 mars 2015, les Houthis prennent le siège du Dialogue national[94]. On massacre ! Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour sa part, la coalition annonce l'ouverture d'une enquête et appelle l'ONG à reconsidérer sa décision[254]. Le 23 avril 2018, les Houthis annoncent la mort le 19 avril, dans une attaque aérienne, de Saleh Ali al-Sammad[367]. Qui sont les acteurs de la crise au Yémen ? L'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis tentent alors d'apaiser la situation et appellent au dialogue[395]. En novembre 2019, Armed Conflict Location and Event Data project (Acled), un projet de l'Université du Sussex, affirme avoir recensé au moins 100 000 morts dans les combats et les bombardements du conflit au Yémen depuis 2015, sans compter les victimes de la crise humanitaire[34]. Risposta preferita. Les 19 et 20 janvier 2015, les rebelles Houthis prennent le palais présidentiel[65],[66]. En décembre 2018, un accord de cessez-le-feu est signé à Stockholm entre les belligérants avec l'aide de l'ONU. Vous pouvez modifier vos choix à tout moment dans vos paramètres de vie privée. S'ensuit alors des accrochages au cours desquels 10 soldats gouvernementaux sont tués et 15 autres blessés à Aden[320]. Le 22 juin, le programme alimentaire mondial suspend partiellement l'aide humanitaire à Sanaa, après son détournement par les Houthis[390]. Il partage ses frontières avec l’Arabie saoudite au nord et avec le sultanat d’Oman à l’est. Le même jour, seize ouvriers sont tués par des bombardements de la coalition sur une usine de produits alimentaires[248]. Le 13 août 2016, sous la menace de Houthis armés, 91 à 141[249] des 301 membres de la Chambre des députés, dont Yahya Ali al-Raie, président de la chambre parlementaire, se réunissent à Sanaa et votent à l'unanimité la confiance au Conseil suprême, mais ce score est inférieur au quorum de 151, ce qui provoque sa condamnation par le gouvernement installé à Aden[250]. Il se réfugie en février à Aden, port stratégique du sud du pays, puis en Arabie saoudite, après le début de l'intervention saoudienne en mars de la même année[44]. La rébellion houthiste serait avant tout, à l'origine, un mouvement tribal et régional opposée au pouvoir central[52]. Il s'agit du premier retrait consenti par les houthistes. Le lendemain, ils entrent dans la ville[117],[118],[119]. Selon le journal Le Monde, le facteur religieux est assez récent et est seulement monté en puissance quand l'ex-président Saleh a « attisé le sectarisme en soutenant un mouvement sunnite d'inspiration salafiste dans le Nord, hostile aux zaïdistes ». « Yémen » vient du mot « félicité », en arabe. N’hésitez pas à l’améliorer en veillant à citer vos sources.La dernière modification de cette page a été faite le 5 janvier 2021 à 15:25. Le 21 mars 2015, lors d'une allocution télévisée, Hadi déclare que « le drapeau de la République du Yémen flottera sur les montagnes de Maran à Saada, et non pas le drapeau iranien » et que « L'école du [chiisme] duodécimain suivie en Iran ne sera pas acceptée par les Yéménites, qu'ils soient Zaïdites ou Chafiites »[114]. Le 25 mars 2017, des hauts responsables loyalistes dont le président Abdrabbo Mansour Hadi, Riad Yassine et Ahmed Awad ben Moubarak sont « condamnés à mort » par un tribunal contrôlé par les Houthis pour « haute trahison » pour avoir « usurpé le titre de président à l'issue de son mandat, participé à l'agression du Yémen et avoir porté atteinte à l'intégrité territoriale de la République yéménite »[317]. Les deux belligérants acceptent de mettre en place un organisme de surveillance du cessez-le-feu[160]. Les rebelles ont ainsi organisé un rassemblement armé et frappé les manifestants, majoritairement des femmes, avec des bâtons électriques[383]. Le 10 décembre 2015, l'île de Grande-Hanich est conquise par les forces loyalistes[150]. Mohammed Ali al-Houthi, cousin de Abdul-Malik al-Houthi, prend le pouvoir en tant que président du Comité révolutionnaire. Des frappes aériennes sont menées contre un hôpital de Médecins sans frontières et provoquent la mort de dix-neuf personnes. Une délégation Houthie doit également se rendre en Iran pour signer des accords économiques et politiques[93]. Hussein Al-Ali a notamment fourni aux houtis des armes légères et des missiles balistiques de fabrication nord-coréenne[449]. Le 1er février 2015, les Houthis donnent un ultimatum de trois jours aux forces politiques pour trouver un accord, faute de quoi ils se chargeraient de la transition[74]. Selon l'ONU, qui réclame la levée du blocus, 21 millions de personnes ont un besoin d'aide humanitaire urgente, sept millions sont au bord de la famine et un enfant meurt toutes les dix minutes de maladie, presque un million de malades du choléra[459],[460]. Pour Jean-Francois Corty, directeur des opérations internationales de Médecins du monde, « les démocraties occidentales, dont la France et les États-Unis, ne sont pas neutres, puisque le conflit les implique et les concerne. Le 8 décembre 2017, les loyalistes, aidés de l'armée émiratie, reprennent le contrôle d'al-Khokha, située au sud du gouvernorat d'al-Hodeïda[361]. Le 6 janvier 2016, les loyalistes prennent la ville de Midi ainsi que son complexe portuaire, contrôlés par les Houthis depuis 2010[170]. 25 mars 2019 à 4:26 PM. Le 26 avril 2020, les séparatistes proclament l'autonomie du Yémen du Sud et rompent ainsi l'accord de paix avec le gouvernement d'Hadi[410]. Le 3 mars 2015, Hadi limoge le chef des forces spéciales et en nomme un autre[107]. Le 5 juin, le Qatar est exclu de la coalition militaire arabe, sous commandement saoudien, en raison de « son soutien au terrorisme »[330]. Le 18 mars 2016, la coalition annonce la fin prochaine de ses bombardements[193]. En août 2015, commence l'offensive loyaliste dans le gouvernorat de Ma'rib[139]. Cependant, des combats sont signalés de nouveau le 21 décembre 2015[161]. La coalition est fortement suspectée d'en être à l'origine[174]. L'Arabie saoudite s'est ainsi mise à la tête de la coalition militaire qui soutient le président réfugié à Riyad. Comprendre le conflit au Yémen. En janvier 2016, le gouvernement décide d'expulser[171] le représentant des Nations unies pour les droits de l'homme puis y renonce[172], après des pressions internationales[173]. Le 2 août, au moins six soldats sont tués et douze sont blessés, dans un double attentat suicide contre une base militaire loyaliste, dans la localité de Habilayn, dans la province de Lahej. Dans le même temps, 18 militaires loyalistes sont tués et une trentaine sont blessés. Mais dès le lendemain, les séparatistes contre-attaquent, repoussent les loyalistes et se rendent à nouveau maîtres d'Aden[403]. Mais désormais, l'enjeu est régional et implique deux puissances voisines : l'Arabie saoudite et l'Iran. Six rebelles Houthis et deux miliciens locaux ont trouvé la mort, selon des habitants[128]. À partir de 2015, les Émirats arabes unis commencent à administrer de fait l'île de Socotra, construisant de nouvelles infrastructures, des réseaux de télécommunication, demandant aux habitants de signer des contrats de travail avec eux, font leurs propres recensement des populations locales, puis, en 2018, se déploient militairement sur l'île, ce que condamne le gouvernement yéménite, au nom de sa souveraineté sur l'île[346]. Le 23 décembre 2015, le Conseil de sécurité de l'ONU appelle à un cessez-le-feu durable[163]. Des combats éclatent à Aden le 7 août entre les forces loyalistes du président Hadi, soutenues indéfectiblement par l'Arabie saoudite, et le Cordon de sécurité, une force formée par les Émirats arabes unis, mais affiliée aux séparatistes du Conseil de transition du Sud[393]. Le 25 février 2016, le Parlement européen, dans une résolution non-contraignante, appelle à un embargo sur les armes pour l'Arabie saoudite[188]. Elles sont alliées à l'ancien dictateur Ali Abdallah Saleh, qui a dirigé le pays jusqu'en 2012. Le 2 janvier 2016, le cessez-le-feu prend fin[166]. Le 30 janvier, les forces fidèles au STC contrôlent la quasi-totalité de la ville[343]. Le 17 mars, 26 soldats des forces pro-gouvernement sont tués et 40 autres blessés par des tirs de missiles rebelles contre la mosquée d'un camp militaire à l'est de Sanaa[315]. Le 27 juillet, un attentat fait sept morts à Marib[235]. Le 26 janvier 2018, les loyalistes repartent à l'offensive dans la ville de Taëz, qu'ils contrôlent majoritairement[363]. En effet, ce conflit fait indéniablement partie des conséquences de jeux de pouvoir entre l’Arabie Saoudite sunnite et l’Iran chiite. De plus, une contre-offensive des rebelles pour reprendre Yakhtul, une localité située 14 km de Mokha, fait 15 morts dont 7 soldats yéménites[314]. De son côté, Ali Akbar Nategh-Nuri, ancien président du Parlement de l'Iran, déclare que le coup d'État serait « une suite de la révolution islamique »[92]. Le 13 mai, des troupes saoudiennes débarquent à leur tour, à la demande du gouvernement yéménite pour former ses troupes[347], puis les deux forces se retirent au profit de l'armée gouvernementale dès le lendemain 14 mai[348]. Ils se rapprochèrent ainsi de la base aérienne Al-Anad, dans le gouvernorat de Lahij[144]. Le même jour, la coalition largue des vivres et des armes aux habitants de Ta'izz, qui sont alors assiégés par les rebelles[176]. Le Premier ministre, Ahmed ben Dagher, estime, le 7 octobre, que la priorité de la Résistance populaire devrait être de reprendre le contrôle de Taëz et d'Al Houdayda, avant d'avancer à Sanaa[275]. Entre le 31 août et le 2 septembre 2016, les raids aériens de la coalition sur la province de Saada font au moins 25 morts, la majorité étant des femmes et des enfants, du côté des rebelles[262]. Marc Eynaud-Publié le 30/09/15. 1) du pétrole. Conflit Yémen Les Acteurs Minorité chiite de la population yéménite Dénoncent leur marginalisation Organisation armée, politique & théologique Principalement chiite Rival de l'Arabie Saoudite Intérêts pétroliers au Yémen Nouveau président à partir de 2012 Fuite vers Aden (Yémen)

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